Le blog d'une lez'

J'ai cueilli ce brin de bruyère

L'automne est morte souviens t'en

Nous ne nous verrons plus sur terre

Odeur du temps brin de bruyère

Et souviens toi que je t'attends...

C'est notre dernier au revoir
Je deteste sentir qu'entre nous l'amour meurt
Mais c'est fini
Entends juste ceci puis je m'en vais
Tu m'as donné pour vivre plus que necessaire
Plus que tu ne le sauras jamais

C'est notre dernière etreinte
Devrai je rêver et toujours voir ton visage
Pourquoi ne pouvons nous pas surmonter ce mur?
C'est peut etre juste parce que je ne te connaissais pas du tout

Embrasse moi, s'il te plait embrasse moi
Mais embrasse moi par désir, bébé, et non par consolation
Tu sais cela me rend tellement en colère
Car je sais que finalement
Je ne ferai que te faire pleurer, c'est notre dernier au revoir

As tu dit " non cela ne peut pas m'arriver
Et t'es tu précipitée vers la téléphone pour appeler?
Y avait il au fond de ton esprit une cruelle voix disant :
Peut-etre ... que tu ne le connaissais pas du tout
Tu ne le connaissais pas du tout, oh tu ne le connaissais pas

Alors les cloches sonnent en haut de l'eglise
Brulant les indices dans ce coeur qui est le mien
Qui pense si fort à ses doux yeux et se souvient
De ses soupirs : " c'est fini ... c'est fini ... "

Je suis étendu dans mon lit, la couverture est chaude
Ce corps ne sera jamais à l'abri du mal
Je sens encore tes cheveux, de noirs rubans de charbon
Touche ma peau pour me conserver entier

Si seulement tu revenais vers moi
Si tu te couchais à mon coté
Je n'aurais pas besoin d'une aiguille mojo*
Pour me satisfaire

Je ne veux pas pleurer pour toi, je ne veux pas savoir
Je suis aveugle et torturé, les chevaux blancs affluent
Les souvenirs prennent feu, les rythmes retombent
Beauté noire, je t'aime tant

Précieux, précieux argent et or
Et les perles dans la chair des huitres
Nous nous affaissons pour servir et nous prions pour aimer
Né à nouveau du rythme criant depuis le paradis
Sans âge, sans âge, je suis là dans tes bras

Je ne veux pas pleurer pour toi, je ne veux pas savoir
Je suis aveugle et torturé, les chevaux blancs affluent
Les souvenirs prennent feu, les rythmes retombent
Beauté noire, je t'aime tant

Les trépointes de ton mépris, mon amour, donne m'en plus
Lance des fouets d'opinions sur mon dos, donne m'en plus
Eh bien c'est toi que j'ai attendu de voir toute ma vie
C'est toi que j'ai tant cherché

Je ne veux pas pleurer pour toi, je ne veux pas savoir
Je suis aveugle et torturé, les chevaux blancs affluent
Les souvenirs prennent feu, les rythmes retombent
Beauté noire, je t'aime tant

rien a signaler...journée tranquille...ma cop a repris le boulot aprés une semaine d'arrêt, on se voit de moins en moins et j'ai tendance a psychoter la dessus.

je me demande...enfin bref.....faut que j'arrête de me poser des tas de questions j'ai pas les réponses....